au grenier des souvenirs

4.24.2005

les Poilus de la guerre de 1914-1918

Blessé tout au début de la guerre, lors d'une patrouille de reconnaissance, l'atère de l'épaule sectionnée, mon père ne dut sa vie qu'à son cheval qui le ramena affalé sur son encolure ,et à un jeune chirurgien qui l'opéra hardiment quand un début de gangrenne l'avait déjà condammné.

On le voit ici à l'hôpital de Grenoble:une petite flèche le désigne sur la photo

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